Les effigies 2,  Sarah Raughley, édition Lumen

Résumé : L'adolescente timide et ordinaire qu'était auparavant Maia Finley appartient désormais au passé. La nouvelle Effigie du feu ne peut plus reculer devant son destin : elle a été choisie pour protéger l'humanité des spectres, ces créatures des ténèbres qui terrorisent les hommes depuis près d'un siècle, et elle entend bien accomplir son devoir, quitte à affronter pour cela ses peurs les plus tenaces ! 
L'ennemi a désormais plus d'un visage ! Cernées de toutes parts, les quatres Effigies ne peuvent alors compter que sur elles-même. Mais parviendront-elles à rester unies face aux fantômes de leur passé ?

Service Presse édition Lumen

Mon avis : Retrouvez les quatre héroines qui maitrisent les éléments combattent les spectres qui terrorisent l'humanité. Si le speech m'avait beaucoup plus à la sortie du tome 1 j'avoue que je restais un peu mitigée à la fin de ma lecture. L'histoire était pas mal mais j'avais eu un peu de mal à rester captivée.
Cependant, cela n'a pas été le cas pour ce deuxième tome. Alors que le temps avait passé, je suis directement retombée dans l'univers de la série dès le début de ma lecture. Les pages défilaient, les rebondissements se succédaient et je restais scotchée à mon livre en avançant sans jamais vouloir qu'il se termine.


Les héroïnes sont plus présentes et plus unies dans ce second volume et je les ai trouvé beaucoup moins superficielles. Alors que dans le premier volet, je les voyais plus en super héros des temps modernes, adulées par la presse et les fans, ici ce sont de véritables guerrières. Mais derrière leurs incroyables capacités, elles restent des jeunes adolescentes avec leurs peurs et leurs doutes.
J'ai apprécié de percevoir une unité entre elle même si celle ci est fragile par manque de connaissance les unes envers les autres.

Pour ce qui est de l'histoire, j'ai vraiment apprécié le tournant pris par l'auteure. Les événements prennent de plus en plus d'ampleur.

Citation: Sans famille, on est rien: Voilà la plus terrible des souffrances, avoua-t-elle. On se lance dans une quête désespérée pour tenter de remplir le vide à tout prix, de tromper la solitude