Résumé :
Mia
est de retour à Malibu, la ville où elle a choisi de vivre. Sa
dette est payée et son ex n’est plus une menace. Finie la vie
d’escort. Son nouveau job ? Bosser à la télévision pour le
Docteur Hoffman, célèbre médecin qui anime une émission. Il
voudrait confier une rubrique à Mia : Vivre en beauté. Dans cette
ville où tout est faux où la plupart des filles sont des poupées
Barbie siliconées, Mia va devoir trouver de belles personnes, des
gens simples mais qui, par de modestes actions, rendent le monde
autour d’eux plus agréable. En réalité elle trouvera bien plus,
pour elle et pour l’homme qu’elle aime.
Service presse Hugo Roman
Mon
avis : Dixième mois des aventures de Mia et on continue dans le
changement de direction qu'avait amorcé l'auteure cet été.
Maintenant
que la dette de Mia a été remboursée elle n'est plus contrainte de
continuer son métier d'escort et choisi même de se poser à Malibu
avec l'homme qu'elle aime. C'est aussi pour elle, un début de
carrière qui l'attend sur les plateaux de télévision
californienne. Mais c'est aussi une période difficile qu'elle doit
passer au côté de Wes, à peine sorti d'un violent traumatisme.
Après
lecture de ce tome, j'avoue être un peu mitigée. D'un côté,
j'aime beaucoup que l'histoire est un fil conducteur au long de
l'année et que cela ne se résume pas en une suite de conquête pour
la jeune femme. Néanmoins, dans ce tome on suit tranquillement la
vie de Mia sans découvrir de réelles nouveautés et sans que cela
fasse avancer l'histoire. Je ne pourrais pas dire que je me suis
ennuyée puisque le roman est comme toujours assez court et du coup
on le lit sans soucis, mais je suis resté un peu sur ma faim.
D'autant plus que j'aimais vraiment retrouver les anciens personnages
ainsi que les « leçons » que Mia tirait de chaque
nouveau contrat.
Il
ne reste maintenant plus que deux mois aux côtés de cette jeune
femme et je reste curieuse de savoir comment tout cela va se
terminer.
Citation : J'ai passé dix mois à faire ce qu'on me disait (…) à prétendre être quelqu'un que je n'étais pas et j'en ai assez de suivre les autres. Dorénavant, mon destin est entre mes mains.