Calendar Girl Mars, Audrey Carlan, édition Hugo Roman

Résumé : Avant de s'envoler vers sa prochaine mission, Mia retourne à Las Vegas où elle retrouve sa sœur et sa meilleure amie. Elle en profite pour aller rendre visite à son père qui est toujours dans le coma. Elle a également rendez vous avec son usurier pour lui remettre le deuxième versement de sa dette. Mais la voilà déjà dans un avion, direction Chicago pour y retrouver Anthony Fasano, propriétaire d'un restaurant italien.

Merci à Déborah et aux éditions Hugo Roman

Mon avis: Déjà le troisième mois des aventures de Mia, escort pour rembourser les dettes de son père. Pour moi, ce tome était important puisqu'il allait décidé si je continuai l'aventure ou non (ayant été un peu déçue par le précédent).


Après une rencontre houleuse avec son créancier, Mia s'envole vers un nouveau client ; mais qu'elle n'est pas sa surprise quand elle apprend la véritable raison de sa présence. Le magnifique boxeur et cuisinier compte la présenter comme sa fiancé au reste de sa famille mais l'histoire est loin d'être si simple. Je ne vais pas en dire plus car vraiment cela vaut le coup de le découvrir lors de sa lecture ; moi ça m'a vraiment plu.

Du coup, on sort vraiment du côté classique et facile que je reprochais au précédent tome où Mia tombait trop facilement dans le lit de son client. L'histoire est un peu inattendue (même si on reste dans les codes de la romance moderne) et vraiment touchante. J'ai beaucoup aimé toutes la galerie de personnage qu'on y rencontre ainsi que la manière qu'on les uns et les autres, d'agir sur leur vision des choses.
De même, j'étais ravie de retrouver d'anciens personnages ce qui donne une réelle toile de fond à l'histoire de Mia et non une succession d'aventure chaque mois.

Vous l'aurez compris, le pari est gagné pour moi : je continue l'aventure ! Ce troisième tome est je crois que mon préféré pour le moment, celui qui m'a le plus touchée et émue (même si j'avais bien aimé découvrir Wes !

Citation : C'est ce qu'on fait quand on aime quelqu'un, m'a-t-il dit. On fait passer les besoins de l'autre avant les siens, et un jour, ce sera l'inverse.